chine secheLes services chinois de météorologie ont annoncé à la mi-août que dans au moins 244 villes à travers le pays, la température dépasserait les 40 °, et les 37 ° dans 402 autres villes.

La Chine subit une sécheresse extrême, beaucoup de fleuves et de rivières sont à sec, et d’importants dégâts en agriculture et dans l’industrie sont annoncés.

Le pays connait une alarme dite « jaune » (sic…), c’est-à-dire de sécheresse, la première depuis 9 ans, et au niveau le plus élevé dans le système de prévisions chinois.

Selon les médias, 66 voies d’eau des 34 circonscriptions de la province de Chongqing, dans le sud-ouest de la Chine, sont à sec. La province Sichuan, également dans le sud-ouest, souffre depuis des semaines sous une vague de chaleur qui devait durer jusqu’à fin aout.

kraftwerkeC’est une belle et originale réalisation, cette centrale électrique NK.

En fait, c’est un réseau de 14 000 installations diverses de biogaz, de panneaux solaires et d’éoliennes, avec une production de poids sur le marché, plus de 10 000 Mégawatts.

Ce réseau de 1400 sites de production décentralisés d’énergies renouvelables est piloté par la start-up Next Kraftwerke.

Certes, l’électricité renouvelable dépend du vent, du soleil ou de l’eau et subit des variations de production. NK doit faire face à ces variations grâce à un réseau d’installations variées et elle est capable de réagir avec souplesse au marché de l’électricité. Son siège principal est à Cologne et elle emploie environ 190 salariés.

statEn mai 2022, il y avait en Allemagne 22,29 Mio de porcs, soit le nombre le plus bas depuis 1990, en recul de près de -15 % rien que par rapport à 2020.

Le recul du cheptel total est récent, alors que le recul du nombre d’élevage dure depuis plus d’une décennie.

Actuellement il y a 17 900 élevages de porcs, soit -46 % par rapport à 2010. Par contre le nombre de porcs par élevage est maintenant en moyenne de 1 245, chiffre en augmentation de +56 % par rapport à 2010.

Mais après  des décennies de croissance, le chiffre de pointe de 1278  porcs en moyenne par élevage, datant de 2020, n’est plus totalement  atteint.

Autre signe de malaise : l’échec du programme ITW, conçu dans le but du bien être animal. 

Les éleveurs de porcs reçoivent en ce moment de la part d’abatteurs de plus en plus de dénonciations de leurs contrats ITW, car la demande en viandes certifiée ITW est faible.

monnoyere

Pour commencer il y a une plante : le tabouret des champs, ou monnoyère, Thlaspi arvense de son nom latin et, en bon français, tout simplement la « mauvaise herbe ».

Il y a ensuite une société, CoverCress Inc. (CCI), qui s’intéresse depuis quelques temps à cette plante commune et qui a obtenu des mutations de celle-ci par editing.

C’est une société américaine de production d’oléagineux durables, visant à contribuer à décarboner l’agriculture.

Elle est composée de queqlues « gros cubes » mondiaux : Bayer, qui vient de prendre une confortable majorité au capital (66%), mais aussi Bunge et Chevon. Ce sera aussi la marque de commercialisation des graines et semences de la plante génétiquement modifiée.

Cette plante a été développée pour des cultures intermédiaires, peu répandues aux USA. Elle a la capacité de réduire les pertes d’azote, de stocker du CO2 dans le sol, et d’améliorer l’état et la qualité des sols. Elle fournit de l’huile pour biocarburants et de la poudre de tourteaux riche en protéines.